jeudi 28 août 2008

Enfin de retour... pour de vrai




Voici donc un avant-goût de ce que vous trouverez ici dans les prochaines semaines :

Une toute nouvelle série sur le périls rattachés à certaines professions. Oubliez les laveurs de carreaux, les pompiers et les cascadeurs. Cette série vous fera découvrir les dessous d'autres professions qui sont injustement considérées sécuritaires.

Quand nous avons laissé Kéveun la dernière fois, il venait de gaspiller son dernier souhait pour acquérir un costume de super-héros. Le cinquième chapitre de ses aventures vous présentera le héros face à son destin tragique.

Dans la 2e partie de mon enquête, je présenterai un exemple dessin animé moderne tel qu'il existerait si les nouvelles conventions qui règnent sur le monde des émissions jeunesses n'entravait pas la créativité.
Un nouvel épisode de ma vie mouvementée de banlieue avec pour la première fois, une apparition de ma chienne golden retriever Mandy. Ça s'annonce pour être cocasse.
Comme vous pouvez le voir. Il se trame beaucoup de chose dans mon petit studio maison. Je vais faire l'impossible pour être plus régulièrement présent afin de ne pas décevoir mon lectorat assidu (Allo maman!)
Là dessus, à bientôt.

jeudi 21 août 2008

J'existe toujours!

Ça fait quelques jours que je n'ai pas mis à jour le blog. Faut dire qu'en plus de mon ménage (voir mes nouvelles trouvailles plus bas) j'ai aussi beaucoup de travail pour arriver à compléter un projet d'animation et que j'y consacre la plupart de mes énergies. Ce qui ne m'empêche pas de me soucier de mes amis comme en témoigne la scène réelle ci-dessous. Notez que les bulles en rose sont les dialogues de ma conjointe qui allaite Maude hors-champs. Je me suis gardé une petite gène. Et comme d'habitude, si vous voulez lire les dialogues, cliquez simplement sur l'image pour une version plus grande.








Par un heureux hasard, le destin a fait que j'ai reçu des nouvelles de mon amie Susanne le même jour, à peine quelques heures plus tard.





Mais en recevant son email, je n'ai pas pu m'empêcher d'imaginer la scène suivante.




Souvenirs






Qui est NOAM? Celui qui chantait le thème de Goldorak bien sûr! À ne pas confondre avec l'auteur Noam Chomsky SVP. En fait, mes recherches très poussée (effectuées en 10 secondes sur Google) m'ont permis de découvrir qu'il s'agit en fait de Noam Kaniel, un petit chanteur d'origine israélienne et dont la discographie compte surtout des génériques d'émissions jeunesses et quelques albums dont les pochettes ne sont pas sans rappeler celles des nombreuses émules de René Simard dans les années 70. Vous pourrez d'ailleurs les découvrir sur le site au nom évocateur : Bide et Musique.


Oui, il y a eu une époque où être joueur de hockey ne signifiait pas nécessairement avoir du sex-appeal. Rick Green ici présent en est une preuve parmi tant d'autres. Ce document fait partie d'une collection distribuée en exclusivité chez les épiciers Steinberg au cours de la saison 1982-1983 du Canadien et qu'on pouvait collectionner dans un petit album en vinyle blanc. Par bonheur, ma tante travaillait alors chez Steinberg et accumulaient les cartes pour moi.
Pour en revenir au sex-appeal des joueurs, à l'époque, seul Gilbert Delorme était un genre de sex-symbole avec son disque d'aérobie si je me souviens bien. On ne pouvait pas en dire autant des Larry Robinson, Craig Ludwig, Richard Sévigny et Ric Natress qui faisaient également partie du club.


Un cadeau en prime


Enfin, pour vous prouver que je ne suis pas paresseux, et que je ne mens pas quand je dis que je vous aime bien dans l'entête du blog, je vous offre gratuitement une copie de mon nouveau fond d'écran que j'ai reconstitué à partir d'un ancien numéro du magazine Passe-Partout. L'illustration n'est pas de moi et j'espère ne faire de tort à personne en l'utilisant ainsi mais je trouvait ça juste trop cool comme fond d'écran et je sais que certains d'entre vouss vont aussi l'apprécier.
CLiquez sur l'image pour l'agrandir puis, à l'aide d'un clic droit de la souris, sélectionnez l'option : "Choisir comme image d'arrière-plan" dans Windows.



Là dessus, je vous dis encore une fois à bientôt!

vendredi 15 août 2008

Des souvenirs en boite







Tiens, par exemple, j'ai retrouvé cette magnifique photo du Village de Nathalie. Ne me demandez pas ce qu'elle fait chez moi, je n'en ai aucune idée. La seule hypothèse qui me vienne à l'esprit est que c'est peut être un truc que j'avais piqué à ma soeur quand elle avait 12 ans et que j'ai tout simplement oublié de lui rendre.

Toujours est-il que je l'ai redécouverte aujourd'hui cette photo. D'ailleurs, c'est cocasse car ma soeur m'a téléphoné aujourd'hui et qu'elle était fâchée parce que sa coiffeuse lui a fait une coupe de cheveux à la Nathalie Simard. Avouez que c'est toute une coïncidence. J'ajouterais bien qu'en plus, Nathalie se trouve actuellement en couverture du magazine La Semaine mais comme les probabilités de la retrouver en couverture de ce magazine sont d'environs 93,9% depuis quelques mois, je ne parlerai pas ici de coïncidence.



Mon autre trouvaille est un peu plus intéressante. Il s'agit du plan du zoo de Montréal.
Oui, les petits amis, Montréal a déjà eu son propre zoo en plein parc Lafontaine avec éléphants, tortues, otaries et lamas. Je ne sais pas en quelle année ils l'ont démoli mais j'en ai gardé des souvenirs assez précis. En particulier de l'énorme baleine à la gueule grande ouverte et de l'arche de Noé avec la tête de la giraffe qui trônait haut dans le ciel. Du moins, c'est ce qu'il me semblait du haut de mon regard d'enfant.

J'ai aussi été bien surpris de voir que le prix d'une admission était à l'époque de 50¢ pour un enfant et de 75¢ pour un adulte. Parlez-moi de tarifs raisonnables.



Je vais ajouter d'autres trouvailles de la sorte dans les prochains jours, histoire de se remémorer le passé. De plus, vous aurez bientôt droit aux premiers épisodes d'une série de BD animalière et à quelques croquis de mon cru.

à Bientôt!

mercredi 13 août 2008

Nostalgie animée (1ere partie)

Je regardais les dessins animés avec mon petit gars samedi dernier et ça m’a confronté à une dure réalité. Les dessins animés d’aujourd’hui ont très peu à voir avec ceux qui ont bercé mon enfance. Les classiques des années 1930 aux années 1960 représentaient alors un bon pourcentage de ce que nous pouvions voir à la télé.

Je n’aime pas trop jouer la carte de la nostalgie mais il faut dire que dans ce cas là, comme il s’agit d’une de mes plus grandes passions, je ne pourrai pas m’empêcher de me remémorer ces bons vieux samedi matins où gavés de Froot Loops et de Quick aux fraises, nous savourions avec appétit ces petits moments qui n’ont plus leur place dans notre monde aseptisé.

Veuillez noter que je ne fais pas l’apologie des comportements signalés ci-dessous. On a beau être nostalgique, ça ne fait pas de nous des rétrogrades.
Veuillez également noter que malgré mes élans nostalgiques, je ne rejette pas en bloc la programmation que nos réseaux de télé offrent aux jeunes. Il y a plein de trucs hyper-éducatifs et même des séries où l’imaginaire joue encore une place (même si c’est plutôt rare!)

J’ai donc compilé un « top 10 » des phénomènes qui ne sont plus enseignés aux enfants par les dessins animés.



Quand un coyote veut dévorer un oiseau, c’est la nature qui est à l’œuvre. Quand ce même coyote oublie pourquoi il tentait d’attraper cette proie et en vient à tenter de le faire exploser ou à tenter de l’écraser avec un rouleau compresseur, ce n’est plus l’appétit qui parle mais un désir bien plus profond. Une rage incontrôlable. Chuck Jones, le créateur du Coyote et du Road Runner se plaisait à dire que son pitoyable prédateur était un fanatique dans la mesure où il en venait à doubler ses efforts après avoir oublié les raisons de ses gestes. Toujours est-il que cette violence était un excellent exutoire.



Que ce soit le loup de Tex Avery dont le corps entier est victime d’une érection à la vue d’une pin-up ou Pepe le Pew qui en vient presque à violer une chatte parce qu’il l’a pris pour une moufette femelle, la sexualité et le désir sexuel étaient omniprésent dans les dessins animés. (Quand on y pense, les cartoons mettant en vedette Pepe sont d’autant plus immoral qu’ils sous-entendent que Pepe aurait raison de se comporter de la sorte si la femelle avait bel et bien été de son espèce.) Quand on sait que l’image la plus lubrique qu’un enfant d’aujourd’hui peut se permettre de voir, c’est Thomas le petit train qui entre dans un tunnel, on voit tout de suite le type de lacunes dont la prochaine génération va souffrir.



De nos jours, on ne peut plus fumer nulle part. Surtout pas à la télé et encore moins dans le cadre de la programmation jeunesse. C’est triste parce qu’en prétendant que la cigarette n’existe pas, on oublie d’en expliquer les méfaits. Quand on voit Sylvester enfiler les cigarettes à la chaine, tremblant, ne prenant même pas le temps de les déposer pour avaler son café, on a un bel exemple pour illustrer la dépendance.

De son côté, la dive bouteille a fait partie de la culture de l’homme depuis que celui-ci a découvert la fermentation. Toutes les civilisations en parlent dans leurs contes, leurs légendes, leurs religions. De nos jours, par contre, personne ne semble même connaître l’existence d’une canette de bière ou d’un flacon de cognac dans les dessins animés. À croire que Caillou est élevé par des mormons. Il fallait voir à l’époque les conséquences désastreuses de l’abus d’alcool sur le travail d’une cigogne pour comprendre qu’il valait mieux ne pas abuser des bonnes choses.




On ne compte plus les incarnations de Lenny, le simple d’esprit du roman « Des Souris et des hommes » dans les cartoons. Les personnages aux capacités intellectuelles réduites ont toujours été et continue d’être sujet de millions de blagues. Bien entendu, aujourd’hui, on préfère faire ces même blagues sur les blondes, histoire de garder bonne conscience. Mais le portrait de la déficience ne s’arrête pas là. Le nanisme de Yosemite Sam, le bégaiement de Porky Pig ou l’amputation de la jambe de Peg Leg Pete, l’ennemi juré de Mickey Mouse sont autant d’autre sujet de plaisanterie qu’on ne peut plus présenter de nos jours.
Si hier, il était sujet de prédilection pour les gags, aujourd’hui, quand on aperçoit un personnage handicapé dans une émission, c’est pour promouvoir son courage et sa ténacité. Pas question de lui permettre d’être drôle, ne serait-ce que de plein gré.



Les fusils sont dangereux, c’est vrai et on peut argumenter que leur usage dans les dessins animés de présentait pas de façon réaliste les conséquences de leur utilisation. Mais occasionnellement, ces conséquences étaient présentées assez directement. Toutefois, j’admet qu’il est vrai qu’on imaginerait mal de voir Toupie et Binou sortir des « 12 coupés » pour tirer sur les dragons et les loups qui habitent leur monde imaginaire. Quoique, quand il s’agit d’être imaginaires qui sont abattus, je ne sais pas si on peut considérer ça comme de la violence.


Homosexualité, travestisme, transformisme et autres pratiques fétichistes ne font pas partie du langage des scénaristes qui écrivent des séries jeunesses de nos jours. Pourtant, Bugs Bunny était probablement la plus grande drag queen au monde. Et non seulement s’amusait-il à séduire des hommes ignorants en jouant des hanches et en battant des cils, il en est même venu à se marier avec des mecs ce qui représente tout un phénomène d’avant-garde.
De plus, il va sans dire qu’on ne présenterait plus aujourd’hui un adulte partageant son lit avec un ami enfant comme Yogi et Boo-Boo le faisait.


Personne n’aurait aujourd’hui l’idée de réaliser un dessin animé dans lequel le héros tente un suicide violent. Pourtant, pour les jeunes de ma génération, c’était extrêmement drôle. Ça représentait le geste ultime, quand plus rien d’autre ne pouvait arriver de mieux ou de pire.


Là, on touche un problème délicat. Il est devenu très facile de choquer les gens quand on parle d’ethnicité. J’ose à peine imaginer les émissions d’aujourd’hui présentant des clichés comme ceux qu’on retrouvait dans les dessins animés de l’époque : mexicains paresseux, arabes violents, noirs pas très éveillés, japonais aux dents énormes. Et c’est sans compters les centaines de gags de « black face » où les personnages, le visage couvert de suie, commençaient à s’exprimer comme les caricatures de noirs de leur époque (Particulièrement comme le chanteur de Jazz de Al Jolson ou comme Rochester, le domestique noir de Jack Benny à la radio.) Le seul personnage stéréotypé que j’aurais le droit de défendre ici serait probablement Blacque Jacque Shellacque, un authentique canadiens français qui a attenté sans succès aux jours de Bugs Bunny dans 2 épisodes avant de disparaître complètement.


Les scénarios de la plupart des dessins animés qui nous étaient présentés à l’époque reposaient sur l’idée d’un conflit. Que ce soit à cause d’un événement déclencheur venant troubler la quiétude d’un personnage tel ce petit homme qui se voit obligé de repeindre constamment sa maison en bleu tandis que la Panthère Rose s’amuse à la peindre dans sa propre palette de couleur ou à cause de l’appétit d’un prédateur comme celui de Sylvester tentant de capturer Tweety ou tout simplement à cause d’une hargne incontrôlable comme celle de Donald Duck, le conflit est le moteur qui fait avancer l’histoire. On peut même dire que sans conflit, dans 99,9% des cas, il n’y a pas d’histoire. C’est d’ailleurs ce qui fait défaut à certaines séries modernes. Comme on se refuse à utiliser tous les éléments mentionnés plus haut, les sources de conflits potentiels s’en trouvent grandement diminuées.


On peut difficilement trouver quoique ce soit de drôle à la guerre de nos jours mais durant la deuxième guerre mondiale, les références à Hitler, aux nazis et à tout ce qui déroule dans le monde à cette époque sont autant de raisons de s’amuser. Que ce soit Donald Duck forcé de faire le « Sieg hail » ou Daffy assommant le führer d’un coup de maillet, rien ne semble trop osé. Peut-on seulement imaginer Bob le bricoleur tentant de réparer un mur que des terroristes ont fait sauter ?

Dans la seconde partie de cet article, je tenterai d’illustrer mon propos en présentant ce que pourrait être une des émissions qui sont présentées aujourd’hui si on remaniait afin de correspondre à ces 10 éléments.
D'ici là, gardez à l'oeil le blog "Intersections" pour découvrir d'autres strips de moi sous peu et continuez de visiter ce blog également pour d'autres messages.
à bientôt!

samedi 9 août 2008

Commentaire éditorial...



Ceci est une histoire vrai. Les noms n'ont même pas été changés puisque je ne connais pas les noms des protagonistes.
Comme d'habitude, je vous invite à cliquer sur l'image pour la voir en taille standard.



Et tel que promis, vous trouverez ci-dessous, la 4e partie des aventures de mon conard de héros Kéveun.

C'est tout pour l'instant. Pour les 2 prochaines semaines, Kéveun fera relâche comme les émissions de Radio-Canada. Il sera donc de retour dans la semaine suivant les Olympiques. Par contre, continuez de visiter mon blog ainsi que le blog "Intersections" entre temps car d'autres messages seront postés d'ici là.

à bientôt!

jeudi 7 août 2008

Pause Pub









Vous pourrez remarquer que j'ai ajouté les adresses d'autres blogs que je fréquente régulièrement dans la colonne de droite.


Je voulais quand même prendre le temps de vous expliquer de quoi il s'agit.





CGUNIT


CGUNIT est un genre de gallerie d'art virtuelle. L'Auteur, le Montréalais Benoit Blouin parcourt différents sites d'artistes, de galleries et autres pour présenter des trouvailles sur une base quotidienne. C'est extrêmement inspirant de voir toutes ces oeuvres.
http://www.cgunit.net/




INTERSECTIONS


Intersections est un projet lancé tout récemment par Evlyn Moreau.

Ça regroupe des bédéastes qui présentent des strips se déroulant dans un même environnement. Ça veut donc dire que les personnages des divers auteurs peuvent se croiser. Ça risque donc d'être fort intéressant et j'y suis moi-même allé de ma première contribution aujourd'hui. (Je fais donc par conséquent de l'auto-promotion ici.)http://intersectionscomix.blogspot.com/








À venir sur mon blog plus tard cette semaine :
Le 4e épisode de KÉVEUN LE CONARD dont voici un extrait en primeur.









à bientôt !

vendredi 1 août 2008

3 choses






Les éditions de la Pastèque ont réédité l'intégrale des aventures de Michel Risque.
Pour ceux qui l'ignorent, Michel Risque est un personnage de BD québécois qui a fait les beaux jours du magazine CROC dans les années 1980. Créé par Réal Godbout et Pierre Fournier, le personnage était mené dans des aventures rarement glorieuses à travers le monde toujours avec énormément d'humour. À l'époque, il fallait acheter CROC tous les mois pour être à même de suivre les péripétie de celui que ses créateurs avaient surnommé le héros au menton carré. Il va sans dire que ma connaissance de la série comportait de nombreux trous.

La parution des albums couvrent l'intégrale de l'oeuvre en 5 volumes date de 2005 à 2007 mais je viens tout juste de les découvrir grâce à ma géniale bibliothèque municipale qui a fait l'acquisition de la collection complète.

Il se publie tellement peu de BD au Québec si on omet les nombreux fanzines qui sont la plupart du temps introuvables, souvent disparus après un seul numéro et dont la qualité est pour le moins inégale. Je saute donc sur l'occasion quand j'ai la chance de lire des auteurs d'ici. Je connaissais les éditions de la Pastèque à cause des livres de Michel Rabagliati dont tous les media ont parlé au cours des dernières années mais j'ignorais qu'ils publiaient également des oeuvres moins récentes. Et je suis profondément enchanté de voir le travail fait sur cette série. C'est presqu'un exploit de trouver 5 albums imprimés avec autant de soin sur un papier de de très grande qualité.

De plus, au dos du dernier volume, on annonce la parution de l'intégrale de Red Ketchup, l'autre personnage vedette de Fournier et Godbout. Je vais m'assurer de fouiller ça d'avantage.


Je ne veux pas trop en dire tout de suite mais maintenant que mon ami Eric a posté un "Teaser" sur son "vlog de rien", (voir le lien à droite) j'imagine que je peux au moins dire que ma collaboration au film se fera via différents media et que je suis, entre autre, en train de préparer des marionnettes pour le tournage.

Et maintenant, place à Kéveun dans la 3e partie de ses aventures.

Enfin, je voulais souligner la présence de couleurs vives dans mon blog aujourd'hui. Il n'y a pas de raisons particulières. J'aime bien mon choix chromatique habituel plutôt glacial mais je voulais mettre un peu de vie. Faut dire qu'un ours polaire sur un fond blanc, ça fait blanc longtemps.

Là dessus, à très bientôt!