Un conte de Noël

Ce soir, un petit court-métrage sur le thème de Noël. Une histoire improvisée à deux en quelques minutes, et un conte réalisé en quelques jours à peine. Ce n'est pas vraiment de l'animation mais ce n'est pas non plus un diaporama. Je ne sais comment qualifier ou même classifier cette oeuvre. Contentons-nous donc de dire qu'il s'agit d'un conte de Noël. Purement et simplement, un divertissement léger.

Bon visionnement!

Ce week-end, c'est l'Expozine.

Le plus grand regroupement d'auteurs de fanzines et d'autopublications au Québec.

J'aurais bien aimé avoir quelque chose à présenter mais le timing était mauvais. Toutefois, j'y serai à titre de visiteur et je vous invite à venir y faire un tour aussi. Vous ne le regretterez pas.

C'est l'occasion parfaite pour rencontrer des créateurs passionnés et pour découvrir des talents cachés.



Ça se déroule donc samedi et dimanche, 14 et 15 novembre 2009 de midi à 18h00 Et l'entrée est absolument gratuite!!!

5035, rue Saint-Dominique (Église Saint-Enfant-Jésus, entre Laurier et Saint-Joseph, métro Laurier).

Tous les détails sont disponibles sur le site officiel de l'événement et aussi sur Facebook.

Au plaisir de vous y croiser.

Pause pub

Je me suis dit qu'on pouvait difficilement faire pire que les pubs qu'on entend continuellment à la radio.

Je pense que j'avais raison.

Mise à jour - Vestibulle automne 2009

C'est finalement le 15 décembre que sera lancé le prochain numéro de Vestibulle dans lequel je publie une nouvelle BD. Cette fois ci, l'horreur gothique est au rendez-vous. En tout cas, elle a manqué le rendez-vous mais de très peu.

Comme d'habitude, le recueil regroupant les travaux des participants à l'atelier de cet automne sera mis en vente directement au Cegep du Vieux-Montréal et probablement à la librairie Fichtre.

Plus de détails seront postés ici dès que j'en saurai plus.

À plus!

"grosses" vedettes

On le sait, l'Amérique a une passion pour la maigreur. On a beau s'y nourrir de fast-food à profusion, les magazines font des choux gras avec tous les bourrelets des stars. Qui a montré ses poignées d'amour dans un bikini trop petit? Qui a des cuisses dont la peau ressemble à un pamplemousse? Qui aurait intérêt à voir un spécialiste pour ses vergeture? Ça n'en finit pas.

Ça m'a donc amusé de voir à quelques reprises des sites Web présentant des photos outrageusement truquées des stars de la chanson et du cinéma souffrant tel qu'ils apparaîtraient si elles souffraient d'un problème d'embonpoint ou d'obésité morbide. Le plus récent étant celebuzz qui en offre une cinquantaine.

Puis, je me suis dit, pourquoi ne voit on jamais ça ici au Québec? Nous avons notre propre star système et le culte de la minceur fait aussi ses victimes chez nous. Est-ce tout simplement parce que nous sommes plus tolérants? Plus gentils? Plus portés sur les plaisirs de la table? Toujours est-il que les journaux à potins ne semblent pas carburer sur le malheur des varices de nos idoles.

Mais qu'en est-il des photos volontairement truquées qu'on pourrait retrouver sur le Web? Est-ce parce que personne ne veut chagriner nos vedettes? Ou Que personne n'a assez de temps à perdre pour le faire?

Il faut bien que quelqu'un se sacrifie...

Mais notez bien : que ceci ne soit pas perçu comme une attaque contre ces personnalités. C'est tout simplement un exercice de retouche photo.

Vestibulle automne 2009

Un teaser de ma prochaine participation au Vestibulle.

À suivre dans quelques mois.

Un peu de nostalgie

Novembre, mois des morts... Le moment où la mélancolie s'empare de nos coeurs et nous fait sombrer dans la déprime automnale une bonne fois pour toute.

Mais ne désespérons pas. Pour nous divertir et nous égayer, j'ai réussi à dénicher ce petit film d'animation hongrois des années 60 que j'ai découvert à la fin des années 70 sur un des canaux de la rangée du bas de notre cablosélecteur*.

Ça devrait vous remonter le moral!

* Cablosélecteur : Boite de commande à pitounes pour le cable. (Là, je perds tous ceux qui sont nés après l'invention de la télécommande à distance.) L'appareil comporte 12 touches et un sélecteur à 3 positions qui permet de multiplier les possibilités de canaux jusqu'à 36. De plus, il est relié à l'appareil de télévision par un cable ce qui lui donne à la fois un avantage (impossible de le perdre) et un inconvénient (impossible de l'amener jusqu'à notre divan) par rapport à notre télécommande moderne.

Fig. 1 : cablosélecteur